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RECONSTIUTIONS
NOS RECONSTITUTIONS
Comme leur nom l’indique, les reconstitutions permettent de recréer des séquences avec une patte cinématographique. Notre approche mobilise un travail exigeant sur la lumière, les décors, les accessoires et la scénographie, sans oublier les acteurs. Nos reconstitutions plongent le spectateur dans un récit palpitant pour aller au-delà du simple témoignage.
LES ESPIONS
Dans notre documentaire « La Bataille d’Airbus », nous avons reconstitué l’intérieur des locaux de la DGSI, le service secret français, afin d’illustrer les articles de presse évoquant le rôle de cette agence dans l’affaire.
LES COULISSES DU POUVOIR
Notre enquête nous a permis de rencontrer un cadre d’Airbus qui renseignait les services de renseignement français sur cette affaire. Cette personne est allée remettre ses conclusions sous la forme d’une note au Directeur de Cabinet du Président de la République. Nous avons donc reconstitué cette rencontre secrète au Palais de l’Élysée, en choisissant un lieu rappelant la célèbre résidence présidentielle.
LES PIRATES INFORMATIQUES
Nous avons reconstitué la vision fantasmée du pirate informatique dans un épisode de notre websérie Cyber Vox. Nous avons construit un faux data-center à grand renfort d’ampoules LED, et avons crée de fausses interfaces sur ses écrans telles qu’on les voit au cinéma.
LES COULISSES DU BUSINESS
Le dossier Airbus étant une bataille judiciaire complexe, teintée de guerre économique, nous avons reconstitué les transactions secrètes entre l’exécutif de l’entreprise et les juridictions étrangères, basées à Londres et Washington. Les lieux sont filmés différemment, intérieur pour le premier et extérieur pour le second, afin de différencier plus facilement les pays en question. Une image frappante se répète dans les deux scènes : un dossier qui tombe violemment sur un bureau.
L'INTERROGATOIRE
Un cadre anonyme d’Airbus nous a décrit son entretien face à des avocats américains engagés par sa hiérarchie. Nous nous sommes attachés à reconstituer scrupuleusement la pression et la dureté des entretiens que ce cadre nous a relaté.
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